
Lorsque l’on va dans le val de Loire et plus précisément dans la région des troglodytes, il ne faut pas rater la spécialité locale : les fouées ou fouasses (ça dépend du patois, fouasses se dit plus en allant vers Tours).
Ici ce n’est pas un troglodyte mais le restaurant à miser sur la carte médiévale, puisqu’il est tout près du château : four à pain, serveurs en costumes médiévaux, assiettes et verres en terre cuites… Un menu unique à 24 euros avec un verre de coteau du Layon bien frais en apéritif accompagné de champignons de paris farcis au chèvre.

Une fois l’apéritif terminé, place aux fouées. C’est une pâte à pain que l’on malaxe beaucoup et qui doit être cuite dans un four à plus de 400 degré pour que la pâte puisse gonfler. Ensuite on fait une petite incision dans la fouée et on y met beurre aux cristaux de sel ou rillettes en entrée, mogettes au confit de canard en plat de résistance. Le tout est accompagné d’une bouteille de vin rouge Saumur (vin de la région). Avant de finir avec des petites fraises du val de Loire au sucre en accord avec la saison.
La grange à dîme
Rue du château
MONTREUIL BELLAY (49)

Comme bien des personnes, je suis déjà allée en Belgique et je n’ai pu résisté à goûter leurs fameuses. Elles sont jolies, grosses, moelleuses… Malheureusement elles sont trop sucrées, croustillantes mais pas assez cuites à l’intérieur, encore plus cher dans une brasserie touristique.
Il y a aussi les crêpes que l’on achète à emporter dont la pâte à le coup de celle à gaufres (Sarah Bernhardt, place du Châtelet par exemple). Au final on est toujours mieux servir que par soi-même.
Pour une vingtaine de gaufres légères :
475g de farine
25g de levure
50g de sucre en poudre
4 oeufs
125g de beurre
37,5 cl de lait
* Verser dans une terrine la farine, la levure et le sucre. Y creuser un puits.
* Mélanger le lait avec les oeufs battus. Ajouter peu à peu le mélange dans la terrine.
* Ajouter le beurre fondu. Une pincée de sel.
* Travailler énergiquement la pâte.
* Laisser reposer à couvert et à température ambiante pendant 20 minutes.
Il ne reste plus qu’à allumer le gaufrier, le badigeonner d’huile. une louche. 3 minutes. croquer.


2 amies, 2 pays et 2 façons de cuisiner le poulet.
- poulet aux échalottes par Dame de Lotus
- poulet au coca par L.
L. m’a apporté ce plat un soir, alors que j’avais déjà préparé du poulet pour nous deux. Même si j’adore la simplicité de la recette (que j’ai empruntée à ma mère) que j’ai préparé, la sauce du poulet au coca de L. m’a fait saliver.

Voici le meilleur restaurant de sushi que je connais à Paris. Un vrai japonais en cuisine, des sushis parfaitement travaillés, fins, savoureux. La meilleure façon de découvrir est d’y aller le midi pour le menu Edomae nigiri special (cf. la photo ci-dessus), la composition peut varier selon l’arrivage des poissons.
Mes trois préférés du menu : l’anguille grillée, le saumon grillé et l’omelette.
En dessert, le gâteau au fromage et au matcha a été retiré de la carte depuis l’année dernière apparemment. Les glaces aux saveurs japonaises (matcha, sésame blanc, gingembre) sont toujours disponibles (6,50€ les deux (grosses) boules).
La carte du soir propose un plus grand choix de sushis nigiri : oursins, coquilles saint jacques, huîtres…
KIRAKUTEI
38 Rue Pernety
PARIS 14è
M° Pernety
photo par tamatama via qype.fr

La première fois que j’ai goûté des scones, c’était dans la librairie anglaise d’Avignon qui paye pas de mine pour un cream tea. Depuis j’en suis mordue. Je compare et j’essaie d’égaler. Après aujourd’hui bien presque une dizaine de tentatives personnelles, jamais encore satisfaction fut faite.
Alors bien sûr, cela va s’en dire, le must du must c’est scone+confiture à la fraise+crème fouettée ♥♥♥ (on apprécie moins le nouveau kilo qui surgit après =/ )
Voici mon premier (nouvel) essai, d’après le livre Simply British chez Marabout.
L’idée de faire des miettes avec le beurre est assez plaisante, mélanger avec un couteau pourquoi pas…
Au final, pas de miettes (alors que c’est un peu le but rechercher) et comme on me l’a fait remarquer une personne qui n’en avait jamais mangés : « ça a le même goût que le pain »… c’est un peu fort mais il y a un peu de ça.